Le Cantal, c'est la Corse sans les bombes

Après les algarades au Conseil Général et à la Caba cette semaine, il est
intéressant de relire le fameux article de T Desjardin paru le 29 août 1996.
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Ci-après un court extrait :
"D'ailleurs. aujourd'hui d'Aurillac a Saint-Flour, où l'on ne manque pas d'humour. on ne dit plus que le Cantal ressemble à la France mais qu'il est devenu... « la Corse sans les bombes » .. le mot étant. Parait-il d'un ancien Procureur de la République en poste à Aurillac.
Il est vrai que le Cantal, perdu dans ses montagnes, sans TGV ni guerre de routes ressemble un peu a une île coupée du monde : qu'a part ses fromages et sa
charcuterie sa grande spécialité reste sa « diaspora » non pas de fonctionnaires mais de « bougnats » et de « limonadiers » qui ont fait fortune en « descendant » vers Paris (le
Cantal est le seul département français d'où on ne « monte » pas vers la capitale) , comme la Corse avec Bastia et Ajaccio.
Le Cantal est « double » avec d'un côté du mont du Lioran. Aurillac et sa prefecture la ville radicale. franc-maçonne qui « bouffe du cure » et regarde vers
Toulouse. et de l'autre côté du Lioran. Saint-Flour et son évêché. la ville « conservatrice » au « Christ noir » qui regarde vers Clermont et Giscard. quand ce n'est pas vers la Corrèze et
Chirac".