I F P P Aurillac, menace de dépôt de bilan ???
L'établissement subit-il aussi la crise de la mondialisation?
Un créancier a qui l'établissement doit un peu plus de 39 000 € a vu son compte crédité de 4 900 € en réglement de son du.
Un administrateur a engagé une négociation en proposant 9 000€ de plus contre la signature d'un engagement de non poursuite.
A la 3éme rencontre il a augmmenté la somme pour arriver a 15 000€ en plus de l'acompte versé.
Cette négociation de marchand de bestiaux dure depuis 1 mois.
R Souchon, Président de le Région Auvergne maintiendra t-il ses derniers dires sur l'etablissement où il avait indiqué que le dépot de bilan n'était pas a exclure.
Extrait de l'accord proposé par l'administrateur.
X étant le créancier
Concessions réciproques et indemnités transactionnelles.
X renonce pour l'avenir à toute réclamation et actions judiciaires portant sur la rupture ou l'exécution de son contrat de travail.
En contrepartie de cet engagement de X l'IFPP accepte de lui verser à titre d'indemnité transactionnelle et définitive une indemnité globale et forfaitaire de 9000 € net .
Cette indemnité est destinée à rembourser l'intégralité des préjudices et indemnités autres sollicités par X au titre de l'exécution ou la rupture de son contrat de travail.
Cette indemnité transactionnelle de 9000 € est versée par chèque remis ce jour à X qui en donne quittance sous réserve de bon encaissement.
Les partis s'engagent réciproquement, aux termes du présent protocole d'accord transactionnel à ne pas porter atteinte à leurs intérêts respectifs et a conserver une attitude parfaitement loyale entre eux.
Ils s'engagent à respecter la confidentialité la plus absolue compte tenu du présent protocole d'accord transactionnel ainsi que sur les discussions ayant présidé.
Il s'interdisent a le divulguer sauf à la demande d'une autorité ayant légalement compétence en ayant sollicité la communication.
Le présent accord constitue une transaction conclue conformément aux articles 2044 et 2052 du code civil qui précisent : " les transactions entre les partis ont l'autorité de la chose jugée en dernier ressort et ne peuvent être attaqués ni pour cause d'erreur de droit ou cause de lésions."