ADSEA du Cantal Juillet 2009, le ciel s'éclaircie

Dans un article paru dans la presse quotidienne locale le président exprimait
les difficultés rencontrées pendant l'année 2008.
"Un an après avoir exprimé sa volonté de cohésion, le président affiche une confiance mesurée.
Certes, a rappelé le président en ouvrant l’assemblée générale, « l’année 2008 a été difficile », en l’absence de directeur et avec le départ de sept
administrateurs sur quatorze."
la 1ére vice-présidente
le 2éme vice-président
le secretaire
le trésorier
1 un membre du conseil
ci-après le courrier d'un administrateur adressé au président
Le bureau a été totalement renouvelé, ses nouveaux membres :
Alain Sauviat, Michel Lemaître, Camille Benahmed, Camille Benet, Marcel Besombes, Jacques Blanc, Jean-Louis Crantelle, Christian Gard, Sylvie Lachaize, Marie Laporte, Pierre Plantade, Alain Samson, Anne Yermia.
En 2008, ce sont cinq administrateurs qui ont démissionné :Alain Sauviat, Michel Lemaître, Camille Benahmed, Camille Benet, Marcel Besombes, Jacques Blanc, Jean-Louis Crantelle, Christian Gard, Sylvie Lachaize, Marie Laporte, Pierre Plantade, Alain Samson, Anne Yermia.
la 1ére vice-présidente
le 2éme vice-président
le secretaire
le trésorier
1 un membre du conseil
ci-après le courrier d'un administrateur adressé au président
Elu « Président » de l’ADSEA, à votre demande pressante, vous vous comportez au sein de cette dernière de plus en plus comme le dirigeant d'une république
bananière faisant fi des remarques que les administrateurs vous adressent.
Pendant plusieurs mois, vous avez nié des problèmes importants au sein d'établissements sans vouloir prendre de décisions, malgré les remarques
d’administrateurs.
Votre comportement actuel est incompatible avec la gestion de l'association, « qui exige une sérénité, un esprit de dialogue, de tolérance exclusive de toutes
querelles subalternes » comme le dit si bien un administrateur dans un mail récent.
Vous recherchez au travers de cette « Présidence », une situation sociale et de pouvoir perdu dans un centre hospitalier qui vous sert encore de référence à tout
propos. Vous vous permettez d'autorité de modifier des dates de réunion, d'interdire une action des administrateurs élus précédemment discutées en bureau.
Mais le plus fort, vous piétinez les décisions de ce dernier concernant l'embauche du Directeur Général pourtant essentielle pour le bon fonctionnement de
l'association.
En bref, l'écran de fumée derrière lequel vous vous êtes abrité s'estompe et votre goût soviétique du pouvoir se fait jour.
Au prochain conseil d'administration, il faudra expliquer l'embauche d'une salariée en C. D. I. sans l'accord du bureau et du conseil d'administration.
En résumé, la solution la plus sage serait que vous atterrissiez sans trop de heurts de votre nuage « Présidentiel » pour prendre le chemin de Saint Jacques de
Compostelle.
L'association a été créée pour servir des personnes en difficulté depuis presque 60 ans, mais non pour permettre à son « Président » de s'exprimer en parfait
despote comme le sous-entend une de vos dernières réflexions « c'est moi qui signe ».
« Ceux qui croient que le pouvoir est amusant confondent pouvoir et abus de pouvoir. »
André Malraux